Histoires à faire peur - Jean Coste

Histoires à faire peur

By Jean Coste

  • Release Date: 2014-10-06
  • Genre: Ghost Stories

Description

Voici 13 histoires à vous glacer le sang parmi les plus extraordinaires de tous les temps, dont quelques récits d’auteurs français.
Amis des histoires macabres, des spectres et des vampires, vous trouverez ici de quoi vous réjouir. Âmes sensibles, passez votre route !
Le Cavalier sans tête, monsieur Sandman, le loup-garou de Dole, Rip, la Mort rouge, le Bahr-Geist, le prince Dracula et les sorcières de Saint-Germain-des-Prés sont quelques-uns des êtres lugubres que vous rencontrerez sur votre chemin.
Adaptation et textes d’accompagnement de Jean Coste.
LES HISTOIRES À FAIRE PEUR :
La légende de Sleepy Hollow, Washington Irving
L’Esprit du château de Baldringham, Walter Scott
Monsieur Sandman, Ernst Hoffmann
Histoires à dormir debout de Dom Calmet, Dom Calmet
Le vampire, Lord Byron
La chute de la maison Husher, Edgar Allan Poe
R.I.P., Washington Irving
Les ténèbres, Lord Byron
Un songe étrange, Jean-Paul Richter
Le masque de la Mort rouge,Edgar Allan Poe
Le mauvais sort à St-Germain-des-Prés, Anonyme
Le loup-garou de Dole, Dan d’Auge
Les méfaits véritables de Dracula, Jean Vitez

Extraits :
« La terreur fit dresser les cheveux sur la tête du pédagogue épouvanté. Que faire ? C’était trop tard pour rebrousser chemin. Du reste, quelle chance aurait-il d’échapper à un fantôme ou un esprit, si c’en était un, qui pouvait chevaucher sur le vent ? Faisant donc montre d’un courage qu’il était loin de ressentir, il demanda d’une voix mal assurée : « Qui va là ? » Point de réponse. »
La légende de Sleepy Hollow
« Nous déposâmes notre fardeau funèbre sur des tréteaux dans cette région d’horreur ; nous tournâmes un peu de côté le couvercle du cercueil qui n’était pas encore vissé, et nous regardâmes la face du cadavre. Une ressemblance frappante entre le frère et la sœur fixa tout d’abord mon attention ; et Usher, devinant peut-être mes pensées, murmura quelques paroles qui m’apprirent que la défunte et lui étaient jumeaux, et que des sympathies d’une nature presque inexplicable avaient toujours existé entre eux. Nos regards, néanmoins, ne restèrent pas longtemps fixés sur la morte, — car nous ne pouvions pas la contempler sans effroi. »
La chute de la maison Husher 
« Soyez toujours conscients que l’horloge, qui sonnait jadis l’heure fatidique tous les soirs, sonnera un jour votre dernière heure. N’oubliez donc pas ce que l’on inscrivait autrefois sur les cadrans : « Peut-être la dernière ». On se rappelait ainsi que le temps fuit irréparablement et que, sans considération de votre opinion, la mort viendra vous chercher à son heure. Vous êtes sans doute préoccupés — à juste titre — par cette pensée : viendra-t-elle ce soir ? »
Monsieur Sandman

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