« La dévoration se veut ici adoration : dévorer l’autre, c’est s’assimiler à lui, se doter de ses vertus. Les chevauchées riffaugéennes dans la plaine majurique sont ainsi une parole d’amour, mais il s’agit là d’un amour vampirique pour la substance allemande, qu’on absorbe durant tout le texte avant qu’elle n’absorbe à son tour ».
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